L’année dernière Ashley Callingbull,
une femme de la Nation Crie, était couronnée Mrs. Universe à Minsk, Bélarus. La compétition était un concours de
beauté pour les femmes mariées et avait comme thème : la violence domestique
et la maltraitance des enfants (CBC News, 2015). Callingbull était
particulièrement étiré à cette compétition à cause de son enfance difficile sur
les terres de réserves au Canada.
Ashley est née sur le réserve de la
Nation Crie à Enoch, Alberta à l’extérieur d’Edmonton. Au début de sa vie, elle
vivait avec sa mère et ses grands-parents, mais à l’âge de cinq ans elle a
déménagé avec sa mère pour vivre avec un homme où elle est devenue victime de la
violence physique et sexuelle et encore pire, ils vivaient en extrême pauvreté.
À l’école elle fut la cible de jets de pierre envers elle-même et les autres
Premières Nations et à l’âge de neuf ans elle était diagnostiquée avec la
tuberculose (Hune-Brown, 2015). De ce moment-là, Callingbull a décidé qu’elle
en avait assez de cette violence et souffrance dans sa vie et elle a
effectivement forcé sa mère de fuir cette maison et de retourner à Enoch pour
vivre avec ses grands-parents.
C’était en ce moment où Ashley a
commencé à entrer dans des concours de beauté, mais en fait, elle n’était pas
particulièrement liée à l’idée d’être jugé pour son apparence physique et à l’âge
de 22 ans, elle a déménagé à Six Nations, Ontario pour travailler pour une
charité qui soutient les jeunes autochtones et c’est aussi l’endroit où elle a
rencontré son mari, Ryan Burnham (Hune-Brown, 2015). Ashley était toujours
mécontente du fait que les concours possédés un composant de maillot de bain,
mais en 2015, le composant était retiré et remplacé par le plaidoyer et la charité.
De ce fait, Callingbull a décidé de participer puisque c’était une occasion
excellente de lutter pour les droits des peuples autochtones (Hune-Brown,
2015). Au passé, elle avait reçu plusieurs commentaires racistes, mais c’était
son occasion de dissiper ces stéréotypes et de montrer sa fierté majeure pour
sa culture (CBC News, 2015).
http://indiancountrytodaymedianetwork.com/2013/01/10/ashley-callingbull-hundreds-more-will-dance-idle-no-more-grand-entry-edmonton-146862
Durant la compétition de Mrs. Universe elle était capable de
porter ses emblèmes traditionnels, de présenter la danse de guérison et de
porter la robe à franges pour en montrant que sa culture était plus qu’un
costume (Boesveld, 2015). Son objectif était d’éduquer le public à propos de sa
culture et de plus, elle voulait démontrer une histoire d’espoir en montrant
les femmes qu’elles pouvaient surmonter ces obstacles et qu’elles ne devaient pas
subir la maltraitance. Donc, le but ultime d’Ashley est d’abolir le sens de
peur que toutes les femmes autochtones se sens et de le remplacer par un sens
de valeur (Boesveld, 2015). Aujourd’hui, elle continue de lutter pour les
droits autochtones en partageant son histoire avec les jeunes et de les
encourager de ne pas abandonner leurs rêves et leurs espoirs. De cette façon, Ashley
est un bel exemple de quelqu’un qui utilise sa position et titre comme moyen de
prêter l’attention aux problèmes des peuples autochtones.
Œuvres cités